Si tu notes favorablement Molson, Labatt, Coors, Heineken, Stella Artois ou d’autres bières du même genre de qualité, prière de faire l’Autruche car en le faisant, je vais faire semblant de ne pas t’avoir vu...
Sinon, mon intérêt pour la bière s’est construit au milieu des années 90 dans les derniers moments d’un marché exclusivement réservé à la bière de mauvaise qualité et où un nouveau brasseur québecois fraîchement sortit de ses cuvés fît ses premières impressions.
Après avoir prêté ma langue à ces nectars bien trop que Divin, je fît l’impressionnante découverte qu’il valait mieux payer plus cher(même si j’avais pas l’argent dû mon jeune âge) afin de pouvoir additionner plaisir et saveur. Je découvris alors par le fait même que leur majestueux slogan "Moins boire pour mieux boire" est d’une véracité bien plus qu’épanouissante.
Ceci dit qu’Unibroue a été au Québec l’éblouissante porte d’entrée aux multitudes de saveurs que nous avons aujourd’hui le plaisir de déguster.. Et "Don de Dieu" et/ou "Dieu du Ciel", je vous louange car Molson et Labatt sont à leurs derniers soupirs.
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Si tu notes favorablement Molson, Labatt, Coors, Heineken, Stella Artois ou d’autres bières du même genre de qualité, prière de faire l’Autruche car en le faisant, je vais faire semblant de ne pas t’avoir vu...
Sinon, mon intérêt pour la bière s’est construit au milieu des années 90 dans les derniers moments d’un marché exclusivement réservé à la bière de mauvaise qualité et où un nouveau brasseur québecois fraîchement sortit de ses cuvés fît ses premières impressions.
Après avoir prêté...
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